Mathias Renaud est un étudiant gradué dans le laboratoire du Dr Julie Claycomb à l'Université de Toronto. Apprenez-en davantage sur Mathias et sa recherche ici!
CCREES—un réseau de scientifiques et de chercheurs canadiens spécialisés dans le domaine de l'épigénétique—a lancé une nouvelle initiative de partage des connaissances
Hossein Davarinejad est un étudiant gradué dans le laboratoire du Dr Jean-François Couture à l'Université d'Ottawa. Apprenez-en plus sur Hossein et sa recherche!
L'alimentation, l'exercice, les traumatismes, les substances toxiques et d'autres facteurs environnementaux peuvent, pour le bien ou pour le mal, avoir un impact sur notre code épigénétique.
Notre mode de vie est essentiel pour préserver notre santé, notre fertilité et la santé de nos futurs enfants.
Le cerveau est un organe remarquable et l'un des plus complexes à assembler. La méthylation de l'ADN est l'un des mécanismes épigénétiques les mieux étudiés dans le domaine du neurodéveloppement.
La sévérité de la maladie et l'incapacité à la combattre peuvent, en partie, être attribuées à un dérèglement épigénétique d'un système immunitaire vieillissant.
Bien qu'il y ait encore beaucoup à apprendre sur ce virus et cette maladie, nous savons que l'épigénétique intervient de plusieurs façons dans l'infection et l'immunité ainsi que dans le développement et la disparité de maladies.
Une fois le virus inhalé, notre première ligne de défense est la réponse immunitaire innée, un système intimement lié à l'épigénétique.
En novembre 2020, pour 10 femmes ayant perdu la vie à cause de la COVID-19, 14 hommes auraient succombé à la maladie. Alors pourquoi les hommes semblent-ils être plus à risque que les femmes ?